U n petit mot pour te dire, je t’admire, tu m’inspires.
N on ! Trop beau ton sourire, tu m’attires, c’est pire.
P ersonnage étonnant, à ton âge, tu es dans le vent,
E t par ta présence, ton absence, je suis en transe.
T endrement, je dédie ce poème, à l’être suprême.
I l t’en faudrait davantage, pour être dans le cirage.
T out me va bien et tout va très bien, ange gardien.
M ais on se cherche, se recherche, prends la perche,
O u alors “dors, mon trésor”, dans un corps à corps,
T ellement endiablé, que je vais y laisser, ma santé.
P ourtant mien, je tiens beaucoup à lui, aujourd’hui.
O n se chamaille, s’encanaille et on s’adore, encore…
U ne vie si bien remplie, de plaisirs, désir et soupirs.
R iche, l’acrostiche fétiche, à la corniche, ma biche !
T e dire “Je t’aime, à la bohême” sans lire ce poème,
E n son île singulière, si particulière, à la traversière.
D évoiler ses sentiments, partager les bons moments,
I l y a un secret gardé et une vérité cachée, c’est vrai !
R egard complice tout en malice, c’est le feu d’artifice
E t te remercie d’agrémenter ma vie, je suis ravie o’ lit.
Cet acrostiche a reçu le Troisième accessit au Grand Concours littéraire du Monde francophone 2008 de l’Académie Poétique et Littéraire de Provence (catégorie poésie libre).
le 17 juin 2008 à 16:00
Je t’aime