M on gentil minou est si roux, si doux.
O n le caresse avec finesse, délicatesse.
N on ! Un coucou, à ce tout petit filou.
M ais il aime aussi les câlins, du matin,
I l se frotte à mes bottes, c’est mon pote,
N ourri de gros bisous, chaud et si chou.
O n le voit partout, on aperçoit ce bijou,
U n bond sur la table et un son adorable.
E t il miaule dans la piaule, me frôle,
T andis que je batifole… lui, convole.
S ‘il se débarbouille, en deux secondes,
A vec sa bouille si ronde, il vagabonde.
C hère à mon coeur, compère du bonheur,
O n l’admire, elle m’attire et là, je chavire.
P lantée, belle à souhait, elle me reconnaît.
I l faut s’en occuper au quotidien, c’est rien.
N on, ils le valent bien, ils ont mon soutien,
E t si vous les aimez… vous les protégerez.
S i vous le grattez, il ferme les yeux comme une poupée,
I l étire son cou, respire un bon coup, soupire un miaou.
C harmé, protégé, le fauve se love, mon corps, son trésor.
O n voit bien qu’il me surveille. Quoi ? Viens, je sommeille.
Q ue demande son coeur, de la chaleur pour ce séducteur.
U ne nourriture variée, du lait et une friture, s’il vous plaît.
I l monte la garde, surmonte la bagarre, remonte, ça barde.
N ous y voici… et tout l’après-midi, en si bonne compagnie…
E nfin ! Son destin l’a mis entre mes mains, ce petit coquin.
le 17 mai 2009 à 4:27
voici un poeme si beau…