Carnaval fleuri de l’ambassadrice, Nice
Publié à 12:42 dans Divertissements

C arnaval fleuri, festival si joli… Nice, l’ambassadrice.
A rrivés promenade des anglais, la balade enchantée.
R egarde cette commune… puis admire ces tribunes.
N ote l’ambiance, l’affluence, la danse, les vacances,
A vec tant de spectateurs et carnavaleurs en couleur,
V isages souriant à l’auditoire, et une page d’histoire,
A imant l’observatoire représentant les huit territoires.
L e corso ratapignatesque… à fresques romanesques.

F leurs toutes senteurs diversifiées, colorées à volonté,
L ‘on aperçoit une quinzaine de chars décorés, bariolés.
E n premier, la Reine sereine et son paon dans le vent,
U ne belle queue s’étale en cinq pétales et on s’installe.
R emarquant les éléphants roses, bleus, transparents.
I magine, les lys orangés, les échassiers peinturlurés.

M inettes, jambettes, plumes, costumes, son, volume,
U ne troupe de musiciennes, une croupe de tahitienne,
L à voilà, bronzée, déhanchée, dodue et presque nue,
T andis que la bataille de fleurs, trouvaille du bonheur,
I nvite au partage avec le voisinage mais quel paysage.
C hauve-souris, fantômes, ruches, abeilles et bourdons.
O h, la fumée sort des naseaux très chauds si trognon
L es grandes dents, les yeux brillants et le cri effrayant.
O bserve ce dragon, si long, furibond et nous l’aimons.
R éelle carcasse articulée, si belles, les ailes déployées.
E ntends-tu la sono jouer à tue tête ? Eh oui, c’est fête.

D es groupes musicaux, très beaux, si colorés, variés,
E t la fanfare de Mexico avec chorégraphie, c’est joli !

N otes de musique, batteries-fanfares magnifiques.
I l nous faut visiter Le Négresco pour faire la photo.
C herche ce beau palace… la terrasse, là, en face,
E t la vidéo me filmait, le corso de la soirée arrivait.

E n nuitée, lampadaires allumés, se distraire, allez !
N ‘oublie pas, “la ratapignade”, la Ola et l’accolade.

N on, tu ne rêves pas, le voilà, le roi des rats, le chat.
U ne majesté, Sa majesté, Le raminagrobis, l’Adonis.
I lluminé de ses 15 mètres de hauteur, ce bienfaiteur,
T enant une jolie souris, patte gauche, il s’approche,
E t un spectre à droite, peut-être, qu’on le convoite !
E ntièrement vêtu de rouge et blanc, il est charmant.

I l faut le décrire car il m’inspire et nous fait sourire.
L ‘or de la couronne scintillait, la friponne gesticulait.
L angue rosée, ratiches immaculées, il nous souriait.
U n joli regard, si doux et mon petit Bernard, si chou.
M algré le système articulé, son corps vaut ce décor.
I l était entouré de cages dorées, d’enfants déguisés,
N ullement impressionnés par ses griffes si acérées.
E n tête du cortège, il en jette. J’abrège, arrête !
E ncore 13 chars ? D’accord, punaise, il se fait tard !

B atacuda en action et souris, chauve-souris en faction.
A vec le château hanté, monstres, fantômes en binôme.
R angée de squelettes, allez prophètes, aux oubliettes.
I l y a aussi ce dragon si joli et je vous l’ai déjà décrit.
O n va voir Madame Irma, son chat noir et son pouvoir.
L a boule de cristal, la foule, le signal et c’est radical.
E n conclusion, “la ratapignata brasserie” a la belle vie.
E merveillés, plus que ça, Morphée nous tend les bras. 

Site du Carnaval de Nice

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